Are you ok ?

Are you kidding me ?

Les journées étaient on ne peu plus banales depuis plusieurs années pour la famille Cullen. Ils avaient fait leur retour depuis plusieurs années maintenant, c'était un peu comme si quelques choses les attiraient ici, ils s'y sentaient bien et revenaient à plusieurs reprises prenant garde à sauter des générations afin que personne ne puisse percer à jour leur secret. Mais voilà, leur vie ne serait désormais plus la même depuis que Bella est arrivé en ville. Edward, se sent très attiré par elle à tel point qu'au départ ce fut un problème. Il dû fuir la ville quelque temps, le temps de contrôler sa soif et apprendre à vivre aux côtés de la jeune étudiante. Jusque-là, toi, tu fût surpris, n'ayant encore jamais eu affaire à un tel phénomène, mais tu aidas ton fils comme tu le pût dans cette épreuve, qu'il devait à tes yeux, surmonter à tout prix. Vous ne pouvez pas fuir chaque fois que l'un d'entre vous ne peu plus se contrôler.

Ce genre de problèmes t'es parfaitement inconnue, puisque ton pouvoir d'empathie ne t'empêche naturellement d'avoir envie de sang humain, même si celui-ci à ses limites. Lorsque tu transforme un humain par exemple, lutter contre la frénésie au moment où tu vas le mordre est un véritable supplice. La souffrance qu'elle engendre est presque décuplée par rapport aux autres vampires, peut-être est-ce parce que tu n'as pas l'habitude de te nourrir de cette façon, va savoir. Quand tu as rencontré Bella il y a quelques jours, tu as compris ce que ressentais ton fils. Il est vrai que son odeur n'est pas similaire à celle des autres humains, cependant tu n'éprouves pas autant de difficulté qu'Edward à demeurer à ses côtés. Toujours est-il que tu t'es ressentis attiré par elle à votre première rencontre. Tu ne saurais l'expliquer étant donné que tu es déjà marié et amoureux d'Esmée. Mais cette sensation que tu as ressentis en sa présence te préoccupe. Voilà pourquoi ce soir, alors que tu te dirigeais vers ton manoir, passant devant le domicile de Bella, tu as voulus vérifier ce sentiment.

Il est environ 20 heures lorsque ton véhicules s'arrête devant son domicile. De longues minutes de réflexions sont cependant nécessaires afin que tu songes à ce que tu es en train de faire. Malgré tout, tu finis par retirer les clefs du contact de ta Mercedes sombre aux vitres tintées, mais que tout le monde connaît dans cette si petite ville qu'est Forks. T'avançant par delà le porche, sonnant à la porte, tu n'avais pas réfléchis à ce que que tu pourrais donner comme excuse au Shérif Swan, même si celle-ci vint quand même naturellement.

« Bonsoir Charlie, pardonnez moi de vous déranger. Je viens vérifier simplement que Bella vas bien. » Celui-ci sembla peu surpris de la démarche, te sachant plutôt proche de tes patients, même si la visite à domicile n'es guère dans tes habitudes. Il t'indique que celle-ci se trouve dans sa chambre, certainement en train de faire ses devoirs. Faire ses devoirs.. ce petit bout de femme pourrait tout aussi bien être ta fille. L'espace d'un instant tu te demande ce que tu es en train de faire. Cependant, repartir maintenant ne ferait qu'éveiller les soupçons de son père. Tu le remercie donc et le suis à l'étage, où très respectueux de l'intimité de sa fille, celui-ci toque avant d'avoir la permission d'entrée. « Bella, c'est le docteur Cullen, il vient simplement vérifier que tu vas bien. Je vous laisses où tu risquerais d'avoir un énième dîner carbonisé. » Il quitte la pièce en souriant à sa fille. C'est dingue comme celui-ci semble ne pas toujours savoir s'y prendre avec elle.

Entrant dans la chambre, celle-ci se trouve assise sur le lit, tirant la chaise de bureau tu viens donc approcher de la jeune femme. Ouvrant ton sac, tu attrapes ta petite lumière ainsi que le nécessaire pour vérifié sa tension et son coeur.« Ce n'est qu'un petit contrôle de routine. Suis la lumière je te pris. » Dis-tu en commençant à regarder ses réflexes oculaires.«Tout vas bien ? Pas de vertiges, nausées ou maux de têtes. » Tu avais dans un premier temps fuis son regard instinctivement avant d'être obligé de le croiser pour l'examiner.