Let's be handsome

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Ce soir c'est le grand test pour toi. Tu vas enfin savoir si Gabby à l'étoffe pour devenir ta compagne bien que rien ne soit officiel pour le moment. Tu n'as pas prévus d'officialiser ça de sitôt de toute façon. Tu voulais quelque chose de sérieux avec elle mais sans le lui avouer ce qui à conduit à la signature de ce contrat. Tu imaginais les négociations beaucoup plus longue et compliquées, sur ce point voilà ta première déception parce que tu espérais qu'elle défende corps et âme ses convictions les plus profondes. Mais peut-importe, elle t'as tout de même menacé d'aller jusqu'à la démission avant de se se rendre compte que ce que tu lui demandais n'étais pas non plus la mer à boire.
Les galas faisaient donc partie de ses attributions. Elle avait donné son accord pour t'accompagner lors de cérémonies, sans pour autant être ta compagne officielle. Tu l'as faite passé pour une amie de la famille, quelqu'un que tu prends sous ton aile à la demande de tes proches pour le peu qu'il en reste. Tu as fait une déclaration officielle il y a quelque jour pour la présenter et l'annoncer comme une futur grande personnalité dans le monde des dirigeants de National City. Tu places beaucoup d'espoirs montés de toutes pièces en elle, bien que ton admiration pour son travail soit réelle. C'est véritablement la meilleure scientifique que tu ai put embauché.

Le test est pour ce soir. Tu lui as envoyé un message un peux plus tôt dans la matinée pour lui annoncer que votre première apparition en public se déroulera au laboratoire de recherche qui organise un gala dans le but de récolter des fonds pour des moteurs à hyperpropulsion. Technologie bien loin d'être acquise et encore moins maitrisée mais qui t'intéresse au plus haut point. Tu feras un don généreux à condition de pouvoir bénéficier de quelques informations sur l'avancée des recherches en même temps. Maintenant que tu as conquis ta ville, tu te vois bien conquérir l'univers.
Tu finis de te préparer. Chemise bordeau, un gilet noir tout comme ta veste. Des boutons de manchettes à ton effigie, tu ne connais pas la modestie Maxwell et tu agrémente tout ça d'une montre de luxe, d'un pantalon taillé sur mesure et d'une ceinture de grande marque. Tu finis de faire briller tes chaussures et te voilà en route pour aller chercher Gabby à son appartement. Bien sur tu ne descendra pas du véhicule, tu lui a demandé d'être prête à 20h précise et tu sais qu'elle le seras. Tu l’accueilleras cependant dans la limousine que tu as fait apprêté pour l'occasion accompagné d'un bon champagne.

Comme tu t'y attendais elle était fin prête. Ton chauffeur lui ouvre la porte et c'est là que tu aperçois sa jolie tenue. Elle ne t'as vraiment pas déçue pour le coup. Ton regard se détache de ton inséparable téléphone portable pour se  poser sur le siens accompagné d'un sourire modeste pour le coup.

-« Je sens que je vais commencer à aimer les galas de charité.» Tu lui tends la main pour l'aider à venir s'installer à tes côtés. Ton regard ne peux se détaché parce-que tu imagines déjà comment tu vas pouvoir lui ôter toute cette splendide tenue en rentrant. Votre relation est bien plus charnelle que sentimentale, bien que tu aie déjà avoué avoir quelques failles de ce côté-là. Tu l'apprécies plus que tu ne le penses Max et cette femme pourrait bien causer ta perte. Tu saisie la bouteille de champagne millésimée qui se trouve dans le bac à glaçon et en sert délicatement une coupe que tu lui tends, avant de faire de même pour toi.

-« A l'hyperpropulsion et à cette soirée qui promet d'être très agréable ..» Tu trinques avec elle avant de porter le verre à tes lèvres, tout en souriant. Son rôle ce soir sera d'observer dans un premier temps. Plus tard, tu l'enverras négocier pour toi, tu sais déjà qu'elle excelleras dans le domaine.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle ouvrait le coffret qu’elle venait de recevoir. C’était pour la première fois qu’ils sortaient ensemble. Depuis qu’elle avait accepté ce fichu contrat, Gaby se devait de répondre à certaines exigences de son patron. Si au début de cette histoire elle avait été outrée par ce qu’il demandait, elle avait fini par accepter bien qu’au fond, elle espérait qu’un jour ce contrat finirait en poussière. Elle avait été claire avec lui. Pas d’enfants, pas d’autres relations. Elle ne comprenait même pas pourquoi il avait besoin de ces garantis, comme si c’était indispensable. La jeune femme ne pouvait tout simplement accepter l’idée de porter un enfant. Vus comment le monde commençait à tourner dans un sens, elle ne voulait pas que son fils ou sa fille vive avec ça.

Le coffret qu’elle venait d’ouvrir contenait une magnifique robe rouge en satin. Le haut était sous la forme d’un bustier cœur et la robe s’évasait élégamment en un jupon raisonnable. Une partie de ses économies venaient de passer dans cette robe. Elle n’avait jamais porté un vêtement aussi somptueux et elle se demandait encore jusqu’où cette relation allait la mener. Elle espérait juste ne pas se brûler les ailes aux côtés de cet homme. Enfilant la robe en question, elle coiffa ses cheveux en un chignon élégant, laissant quelques mèches retomber à l’arrière. Elle aimait tout ça même si elle n’était pas sûre que ce soit une bonne chose. Elle sentait le regard déjà envieux de son patron se poser sur elle. Un soupir quitta ses lèvres alors que son regard se portait sur l’horloge. Il était l’heure qu’il arrive. La limousine en bas de chez elle en était la preuve d’ailleurs. Elle salua le chauffeur qui lui ouvrit la porte, laissant ainsi son patron l’aider à entrer dans le véhicule. Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il la détaillait des yeux.

- « Tu as de la bave au coin de la lèvre. » fut la réponse qu’elle lui accorda avant de regarder sa tenue. « Tu n’es pas mal non plus. » ajouta-t-elle.

Elle récupéra la coupe de champagne qu’il venait de servir avant de trinquer avec lui. L’alcool coule dans sa gorge et elle l’apprécie après tout, ce n’est pas tous les jours qu’elle peut goûter à quelque chose d’aussi cher et raffiné.

- « Je dois faire la potiche ou je peux montrer mes connaissances ? » lâcha-t-elle pour le provoquer. « Les deux manières peuvent fonctionner pour le contrat que tu espères avoir. » ajoute-t-elle avec un clin d’œil pour le provoquer. La soirée ne fait que commencer après tout.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu attends beaucoup de cette soirée Maxwell, qui est très importante pour toi et l'avenir de ton entreprise. Si tu peux encore prouver un peu plus que ton entreprise et ton nom est impliqué dans les plus grandes avancées en matière de recherche en particulier avec la possibilité de faire des voyages dans l'espace, tu auras encore une fois montré à tout le monde que tu es le plus fort dans tous les domaines. Tes armes contre les kryptoniens sont déjà plus qu'efficaces et même si elle à mal tourné, la présentation de ton train atteignant les 500 kilomètres par heure à été une réussite. Vous les avez atteins même si tu as faillis y laisser la vie. Désormais tu mène dans le plus grand des secrets, une recherche en matière de cryogénisation, pour mettre en stases les humains pendant de long voyages avec Gabby en chef de projet, tu sais que tu y arriveras, les recherches avançant déjà bien. De plus les Daxamits ayant perdus leur vaisseau sur la terre, tu as put t'arrangé pour avoir une petite visite et en apprendre beaucoup sur leur technologies, autant dire que tu as de quoi leur apporter quelques informations en échange des leurs.

De toute façon tu as bien préparé le terrain. Tu as en ta possession quelques dossiers sur les membres du projets. Évasion fiscale, trafiques en tout genre et commerces illégaux servant à financer leurs recherches, te servirons de moyen de pression pour avoir ce que tu es venue cherché. Alors normalement tu ne devrais pas avoir affaire à Gabby pour ce soir et de toute façon tu n'en a pas très envie. La voir jouer de ses charmes avec d'autres hommes que toi te rendrait fou de rage mais comme votre contrat le stipule, tu sais très bien que tu ne pourras rien faire pour l'en empêcher. Alors tu as monté un dossier en béton pour ne pas avoir recours à ses services. Un jour tu sera fière de la présenter comme ta compagne, mais aujourd'hui l'heure n'est clairement pas à ça. Tu la gardes dans l'ombre, elle apprends. Tu ne veux pas d'une novice comme compagne officielle bien que tu saches qu'elle ai tout de même pas mal de savoir faire et qu'elle est la meilleure scientifique que tu ai put croiser jusque-là. Un jour vous serez le couple le plus puissant de ce monde et c'est ce à quoi tu aspires Maxwell.

Tu ris légèrement à son allusion sur le regard que tu poses sur elle. Oui elle te fait baver, pour rester poli. Ce soir elle est sublime et tu as déjà hâte d'en profiter, de ce côté là tu ne t'es pas trompé sur la jeune femme. Tu poses ton verre sur le côté et attrape un sac duquel tu sors un un long écrins. Tu as décidé de mettre ta petite touche ce soir pour montrer un signe d'appartenance qu'elle seule pourra distingué et même si tu ne le lui diras pas, c'est aussi quelque par pour lui faire plaisir. Tu ouvre l'écrin dans lequel se trouve un magnifique collier avec un léger rubis en pointe. Rouge, parfaitement assortie à sa robe.

-« Je me suis dis que tu ne serais pas contre un petit accessoire..» Tu lui souris et lui la laisse se mettre dos à toi pour le lui enfiler. Une fois fait, tu la laisse se rassoir confortablement pour admirer ce collier que tu as choisit pour elle. Il est à la fois beau et discret, tout ce que tu aimes et certainement elle aussi. Et puis tu reprends ta coupe de champagne pour la porter à tes lèvres, écoutant alors sa demande. Tu souris de nouveau parce-que tu as déjà tout prévus pour ne pas qu'elle ai à intervenir.

-« Ni l'un ni l'autre. Je n'aime pas ce terme de potiche, je préfère observatrice. Et puis les informations intéressantes que j'ai trouvé sur nos chers collaborateurs devraient suffire à les convaincre. La prochaine fois peut-être.» Un sourire victorieux en coin, tu as gagné pour ce soir, enfin tu le penses. A voir comment vas se passer le reste de la soirée. Et si tu n'étais pas le seul à avoir fait des recherches ? Si eux aussi avaient menés leur petite enquête sur toi ? Tu serais alors obligé de lui demander une faveur qui te ferait bien mal au coeur et te rendrait fou de rage ..

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Un sourire s’afficha sur tes lèvres alors que tu le regardais aussi. Il n’était pas mal, toujours à ton goût même si tu ne cessais de te demander pourquoi tu avais accepté tout ce qu’il avait voulu de toi. Finalement peut-être qu’il y a plus dans ton cœur. Ton boulot, ce n’était qu’une excuse, avec tout ce que tu avais réussi à accomplir, n’importe qui aurait accepté de t’embaucher, peut-être même que cela pourrait être un moyen de discorde entre vous si un jour il venait à te demander plus que ce qu’il n’avait déjà. Mais il avait montré des failles mine de rien. Il avait cédé pour certaines choses alors que tu ne pensais pas qu’il en démordrait.
Tu sais très bien ce qu’il pense Gaby. Ce soir, après ce gala, il risque de te ramener chez lui, tu pourras en profiter pour être avec lui, lui montrer que tu l’apprécies bien. Mais avant ça, il y avait ce gala. Tu ne savais même pas pourquoi il t’avait demandé de venir, Maxwell était du genre à tout calculé alors tu t’attendais au pire.

Mais quand il sortit un écrin d’un sac, tu faillis cracher le champagne partout. Tu savais déjà ce que la forme voulait dire et c’était bien trop pour toi. Alors quand il ouvrit la boîte, tu restas sans voix, cherchant quoi dire. Tu n’as aucune idée de la valeur de ce bijou, mais il est beaucoup trop cher pour toi, tu le sais parfaitement. Alors quand il te le passe autour du cou, tu te laisses faire, frissonnant quand tu sens le contact de ses mains sur ta peau.

- « C’est beaucoup trop… » que tu lui réponds simplement en cherchant quoi dire de plus.

Tu savais aussi que c’était un peu son moyen de dire que tu étais à lui sans véritablement l’affirmer. D’ailleurs c’était un peu ce qu’il confirmait en te disant que tu devais te contenter d’observer. Finalement il t’avait demandé de venir pour faire rien ? Ce n’était pas ce que tu voulais faire. Si l’occasion de discuter avec de grands scientifiques devaient se présenter à toi alors tu le ferais, qu’il l’accepte ou pas. Tu n’étais pas le genre à rester dans l’ombre Gaby, surtout pas quand tu pouvais exposer ton talent.

- « Donc je t’accompagne à un gala où je vais me contenter de te suivre sans rien faire ? » que tu demandes finalement en le regardant dans les yeux. « Pas de négociations ni même de conversations ? » que tu ajoutes finalement avant de finir ta coupe de champagne.

C’est là qu’une idée te passe dans le crâne. Si tu dois accepter ses conditions alors lui aussi doit accepter les tiennes. Il n’a pas le droit de montrer le moindre signe de jalousie en public, enfin toi tu le sauras à son regard mais pas les autres. Alors si tu ne peux rien faire de la soirée, tu vas le rendre fou. Tout simplement. C’est pour ça que tu t’approches doucement de lui, passant sa main sur sa joue avant d’avancer tes lèvres vers les siennes, t’arrêtant à quelques centimètres des siennes alors que la limousine s’arrêtait finalement.

- « Je crois qu’on est arrivé. » que tu lui murmures avant de te préparer à descendre du véhicule.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Si sous tes airs de grand macho tu tente de ne rien laissé transparaitre, tu sais également avoir un côté gentleman Maxwell et être romantique. Alors bien sur à ta manière, tu n'es pas le genre de type à faire de grandes tirades pour déclarer à une personne que tu l'aimes non. Toi tu as de l'argent et tu couvres de cadeau cette compagne que tu souhaites garder. Après tout elle a accepté presque tous les termes de ton fichu contrat, c'est peut-être la bonne, mais ça non plus tu ne le diras pas. Pour l'instant, tu profites de ces instants d'échanges que vous avez, tu lui offres ce magnifique rubis signe qu'à tes côtés elle ne manquera jamais de rien parce qu'indirectement avec ce collier tu veux non seulement mettre un petit signe d'appartenance mais aussi lui offrir une sécurité financière. Gabby elle n'est pas le genre de femme à se laisser entretenir c'est pourquoi tu espaces tes petites surprises et celle-ci en est la première. Ce soir elle est magnifique. Magnifique avec une tenue qu'elle s'est elle-même payé bien que tu aie insisté pour la vêtir elle à refusé en bloc sans te laisser le choix. Alors tu agrémente sa tenue avec ta petite touche personnelle. Tu as le bras long Maxwell et donc tu as sus connaître assez à l'avance sa tenue pour choisir un petit accessoire en adéquation avec sa tenue.

Tu lui enfile le collier alors qu'elle réfute presque ce petit cadeau mais qu'elle finit quand même par accepté. Tu en es heureux, tu aurais été vexé qu'elle te le rende. Tu dépose un tendre baiser sur sa nuque avant de la laisser se rassoir. Sentir sa peau sous tes lèvres est un plaisir autant que de sentir les siennes sur ta peau. Alors oui, tu peux être un foutu connard quand tu t'y met, mais tu sais aussi te mettre à des gestes de tendresse, ce dont une femme à besoin. Il te faut du temps pour savoir faire, mais tu t'en sors pas trop mal jusque-là.

-« Ne t'en fais pas, il ne m'a pas coûté aussi cher que le chèque que je m'apprête à faire pour m'assurer d'avoir accès aux recherches sur l'hyperpropulsion.» 10 millions de Dollars. Rien que ça. C'est le dons que tu t'apprêtes à faire à la fondation ce soir. Un dons certes qui n'est pas désintéressé mais hautement généreux, comme peut son capable de le faire en ville. Tu es milliardaire Max alors qu'est ce que dix millions de dollars pour toi ? Un moindre mal pour mettre un pas dans le futur. Et pourtant Gabby ne semble pas très réjouie de la tournure que vas prendre la soirée, se sentant comme un piquet à tes côtés pour faire bonne figure. Mais indirectement, c'était un moyen pour toi de passer une soirée à tes côtés autre que dans un lit. Une occasion de mettre un pied dans ton monde et de t'y faire. Elle va devoir apprendre, car ce milieu là est très raffiné et même si elle sait se tenir, la mondanité n'est pas innée pour tout le monde. Il y a des manières à apprendre et ce soir tu verras si elle est capable de les avoirs.

-« Bien sur que tu pourras discuter avec qui tu veux, tout ce que je te demandes c'est de me laisser mener les premières négociations. Tu deviendras mon arme secrète, mais il faut que tu sois patiente. Tu es censé être une amie de la famille novice dans ce domaine ne l'oublies pas, alors joue ton rôle. On ne dois pas laisser planer de doute.» Avec cette conclusion, tu lui rappelle les termes de votre contrat, bien qu'elle les aient certainement bien retenus puisqu'elle les avaient en travers il y a encore quelques semaines. Un jour, vous serez présentés comme le couple Lord, puissant couple de National city, mais encore une fois, ce jour n'est pas arrivé. Tu n'es pas du genre à te lancer à l'aveugle Max, pas aussi rapidement. Pour l'instant, tu es ferme et elle l'a bien comprit.

Tu la regarde s'approcher de toi en souriant, prête à te donner un baiser que tu ne lui a pas donné jusque-là. Elle te fait frissonner de par sa proximité si déroutante, tu la désires à un point que tu te serais bien occupé d'elle dans cette limousine, mais arriver les cheveux en bataille lèverait tout doute sur la nature de vos relations. Alors tu te contiens. Tu grogne légèrement quand elle se recule t'annonçant leur arrivée. Tu as compris ce qu'elle avait derrière la tête pour ce soir et tu fulmines d'avance. Alors tu lui attrapes la main, pour la faire revenir à toi, avant de prendre possession de ses lèvres avidement. Mêlant l'espace d'une seconde ta langue à la sienne, signe d'une promesse pour le futur de cette soirée si tenté qu'elle se tiennes tranquille.. -« S'il te plait, restes sage ce soir.» Tu la laisses reprendre sa place, alors que ton chauffeur vous ouvre la porte et tu sors du véhicule à sa suite. Tu te redresse et réajuste correctement ton costume, tu es très maniaque quand il s'agit de ta tenue vestimentaire. Tu réajuste tes manches et fait signe à Gabby de s'avancer. La soirée de gala est sur le point de débuter ..

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Un soupir quitta tes lèvres quand il posa un baiser dans ton cou. Tu ne sais pas quoi dire. Peu importe le prix de ce bijou, tu n’as jamais porté quelque chose d’aussi précieux et d’aussi raffiné. Tu as du mal à comprendre votre relation, toi-même tu ne sais pas ce que tu pourrais gagner ou ce qui te mets dans tous ces états. Alors tu laisses faires les choses, peut-être que demain tu comprendras mieux.
Cependant tu n’es pas le genre de potiches à suivre un homme. Peu importe ce que stipule ce contrat, il n’y a aucune raison pour laquelle tu dois te contenter d’observer comment cela se passe. Tu comprends qu’il veuille être prudent, mais tu n’es pas le genre de personne que l’on peut brider et que l’on peut dire ce qu’elle doit faire. Jamais elle n’accepterait d’être juste un jouet dans cette vie. Jamais.

- « Oui je jouerais la potiche. » que tu ajoutes simplement en le provoquant.

Tu sais qu’il n’aime pas ça. Le contrôle c’est ce qu’il aime le plus mais toi, tu ne te laisseras jamais faire. Tu ne seras jamais un pantin qu’il peut manipuler à sa guise comme s’il était le seul à pouvoir te garder contre lui. Tu es du genre à détester ça. Le contrôle que l’on peut avoir sur toi est clairement loin d’être acquis et ce n’est pas un pseudo contrat qui va changer ça. Tu vas continuer à exploiter chaque faille de ce bout de papier pour le faire tourner en bourrique jusqu’à ce qu’il finisse par arrêter de ne pas te demander ton avis. Voilà ton plan.
Tu abuses un peu en le provoquant dans la voiture Gaby. Tu sais qu’il risque de riposter. Alors tu n’es pas étonnée quand il te ramène contre lui pour t’embrasser. Tu sais très bien ce qui se passe dans sa tête, il aurait sûrement préféré aller plus loin dans cette voiture mais il n’en a pas le droit. Pas alors que vous vendez d’arriver. Alors tu lui réponds, tu l’embrasses avec la même fougue avant de reprendre ta place. Ton rouge à lèvre n’a pas débordé, tu viens de vérifier dans le reflet. Tu te contentes d’un sourire quand il te demande de rester sage. Oui une potiche, tu as parfaitement compris.

- « Bien sûr patron. » que tu te contentes de répondre.

Alors tu sors du véhicule, d’abord étonnée par le nombre de personnes qui vous attendent. Un sourire peu assuré sur tes lèvres alors que Max sort à tes côtés. Tu sais très bien comment faire, tu sais que la seule chose qu’il veut c’est que tu passes pour une novice qui n’y connait rien. Alors tu avances quand il te le dit, souriant aux photographes et journalistes venus pour l’occasion. Tu ne veux pas être une novice, mais c’est ce qu’il veut alors tu le fais. Mais au moindre faux pas ou à la moindre occasion, tu vas le provoquer comme tu aimes tant le faire.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu la laisse te provoquer avec ses déclarations qui ne t'atteignent plus. Tu as finis par comprendre qu'elle n'était pas à l'aise avec la situation de ce soir alors que tu ne lui demandais rien de bien extravagant comparé à ce que tu as put mentionné sur le contrat. Tout ce que tu lui demande est de bien vouloir jouer les apprenties, mais elle semble se conforter dans son idée de potiche de la soirée. Elle ne comprends pas que ce soir c'est une phase d'observation pour toi aussi, afin de voir si elle fera l'affaire ou non. Mais rien qu'au travers de son attitude, tu as saisie qu'elle allait te faire en baver ce soir. Peut-importe, une fois rentré tu remettras les choses au point, tu dois simplement garder ton sang froid ce soir et garder ce sourire que tu affiches devant les photographes. Tu aimes le contrôle Maxwell et tu n'apprécierait pas que cette soirée échappe à ce fameux contrôle que tu aimes tant exercer. Elle te met des bâtons dans les roues et quelque part c'est aussi quelque chose que tu apprécies chez elle parce-qu'elle ne se laisse pas faire et montre une certaine force que tu apprécies chez les femmes bien plus que tu ne le prétends.

Vous vous avancez sur le tapis rouge, saluant les photographes au passage et posant modestement devant certains d'entre eux. A National City, tu es un peu une vedette. Tu fais couler beaucoup d'encre dans la presse et intègre beaucoup de journaux télévisés par des déclarations phares. Tu es dans ton élément ici. Tu aimes être sous le feu des projecteurs et en première ligne. D'ailleurs tu t'apprêtes à faire une déclaration au premier qui t'interpellera pour en obtenir une. Une fois encore, tu passeras pour le bienveillant Maxwell, une facette qui cache certains coups fourrés que tu pourrait entreprendre. Un premier journaliste t'interpelle, tu te diriges vers lui en faisant signe à Gabby de te suivre.

-« Mr Lord, votre entreprise porte t-elle un intérêt sur les recherches dont on récolte les fonds ce soir ? » Tu souris très à l'aise comme à ton habitude devant des caméras. Elles t'ont presque élevé, tu as fait sa toute ta vie. Alors mettre une fois de plus les habitants dans ta poche ne sera que formalité et tu espère que ta déclaration influencera la décision du conseil de ce soir. -« Tout à fait. Mon entreprise et moi-même attachons une très grande importance à ses recherches capitales pour le futur de notre planète. Lord Technologies veut s'assurer de non seulement financer une grosse partie des recherches, mais aussi de mener ces recherches en compagnie de cette station déjà présente. Pour ce faire, ce soir j'offre 10 millions de Dollars à la fondation, en espérant que cela aidera grandement dans l'avancée des recherches. Merci.» Tu t'éclipses à la suite de ta déclaration qui tu le sais fera les gros titres. Tu le vois d'ici et d'ailleurs tu serais étonné de ne pas passer au journal télévisé en direct. Tu veux que ta déclaration ait l'effet d'une bombe et tu t'en donnes les moyens. D'un signe de la main tu continue de donner la marche à suivre à Gabby, qui reste dans ton ombre pour le moment et qui doit certainement bouillonner de l'intérieur pour ça. Vous entrez dans cette grande pièce ou cocktails et buffets ainsi de nombreux invités vous attendent.

-« Tu vois les type là-bas ? C'est eux que nous devons convaincre. Suis moi.» Après lui avoir montré du doigt une groupement d'individus tu te dirige d'abord vers le serveur qui navigue entre la foule. Tu attrapes deux coupes de champagnes et en tends une à Gabby. Tu sais qu'elle ne risque pas de finir ivre lors de cette soirée, elle sait que tu ne le lui pardonnerais pas. Cependant les champagnes millésimés peuvent s'avérer bien plus fort que du champagne lambdas. Mais tu sais qu'elle fera attention. Tu te diriges vers le groupement d'individus en question avec Gabby, pour l'instant elle te suis ou que tu ailles. C'est normal étant donné qu'elle est censé apprendre le métier. Tu salue poliment les hommes se trouvant devant toi, tu n'as plus besoin de te présenter, tout le monde te connais.

-« Bonsoir messieurs. Quelle charmante soirée. Gabrielle. Une amie de la famille qui souhaite apprendre les ficelles de notre beau métier. Comment se porte la collecte ? » Tu souris de nouveau alors qu'en fait, tu aurais déjà envie de te crisper à la façon dont ces hommes posent le regard sur Gabby et leur lèvres sur sa main. Tu es excessivement jaloux Maxwell et ce n'est pas pour rien que tu as réclamer l'exclusivité. Tu sais que tu ne supporterai pas de passer après un autre homme. Encore une fois, une stupide affaire de contrôle, parce que toi Maxwell tu dois toujours tout contrôler à tel point que s'en est devenue une obsession.  

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu n’aimes pas son comportement avec toi. Tu n’es pas qu’un pion même si c’est ce qu’il veut. Pourtant tu sais qu’il aime quand tu le défies. Tu n’es pas sotte, tu n’es pas une potiche. Tu es une femme brillante qui va lui faire tourner la tête aussi longtemps qu’il le faudra. Si pour lui ce contrat est un engagement alors il doit s’attendre à voir de quoi tu es capable. Femmes brillante et renommée, voilà ce que tu es, pas le nouveau jouet de Maxwell trop puissant Lord. C’est ce que tu vas lui faire découvrir. Jamais tu ne pourras avoir une relation avec un homme qui te dicte ta conduite. Tu ne veux pas être la femme de, tu veux être influente, que ta parole signifie quelque chose.
Alors tu vas lui montrer de quoi tu es capable. Sans la voiture pour le protéger des regards, il se doit de ne rien te dire. A l’abri des regards tu es peut-être la tienne, mais quand tu es en publique, ta vie n’appartient qu’à toi. A toi et toi seule Gaby.

Tu le suis quand il te guide sur le tapis rouge. Même si c’est la première fois que tu mets les pieds ici, tu as l’impression qu’avoir les yeux braqués sur toi ne te dérange pas. Tu poses tant bien que mal quand certaines personnes t’interpellent. Tu entends des journalistes demander si vous êtes plus que des amis mais tu ne réponds pas, te contentant de sourire. Tu suis le brun partout où il va et si tu fulmines au fond de toi, tu sais aussi qu’il va le regretter dans la soirée. Mais tu ne réponds rien, te contentant de le suivre. Tu l’écoutes aussi, tu vois à quel point il est à l’aise pour répondre aux questions alors que toi, c’est encore différent. Tu sais bien que s’est compliqué mais tu sens que tu as déjà vécu tout ça.
La salle de réception est magnifique. Comme dans un film, lorsque vous pénétrez dans la salle de nombreuses personnes vous regardent, comme si vous étiez le nouveau couple far. Pourtant, il n’en est rien. Vous n’êtes qu’ami, de très bons amis certes mais rien de plus. C’est pour ça que tu n’as aucun contact physique avec lui. Si lui se le permet, ce n’est pas ton cas, tu ne veux pas lui donner une raison de plus de te faire la morale ce soir.

- « Merci. » que tu réponds quand il te prend un verre de champagne avant de t’emmener auprès d’hommes importants pour les affaires.

Gaby sait très bien qu’il veut qu’elle reste à sa place alors elle se contente de sourire quand il la présente aux hommes en questions. Cependant, ce qui devait arriver arriva, ils la détaillaient tous comme si elle était un bout de viande. Peut-être même que certains espéraient pouvaient avoir plus que ce qu’elle était. L’un d’eux se saisit de ta main pour l’embrasser et tu le laissas faire, jouant la jeune femme charmée alors qu’il la complimentait sur ta tenue. Un second s’accapara ton attention pourtant tu n’eus aucun mal à entendre un troisième demander si tu étais célibataire ou non à Maxwell, comme s’ils ne pouvaient pas le faire.

- « Je suis libre comme l’air. » que tu annonces finalement avec un sourire innocent. « Mais je ne suis pas là pour me trouver un mari, seulement pour apprendre. » que tu réponds avant de sourire doucement en prenant un air innocent en buvant une gorgée de champagne.

Tu détestes ça. Tu as l’impression d’être un bout de viande et tu en veux à Maxwell de ne pas te protéger de ça sur le coup. Tu n’es pas une femme qui aime avoir des regards qui te dévisagent en essayant de t’imaginer nue, tu n’aimes pas sentir l’appât de ces personnes. Alors tu fais comme si tu ne connaissais pas tout, comme si tu étais une jeune femme fragile mais qui arriverait à mieux frapper plus tard.

- « Ravie de vous rencontrer en tout cas. » que tu ajoutes pour ne pas paraître impolie, de toute façon tu es assez intelligente pour savoir ce que ces hommes veulent vraiment de toi.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tous les regards ou presque sont posés sur vous. Est-ce la déclaration que tu viens de faire qui est déjà arrivé aux oreilles de ces gens, ou autre chose ? Tu as crus entendre quelques journalistes demander la nature de vos relations toute à l'heure et vus Gabby les ignorer, elle semblait mal à l'aise avec la question. Toi tu t'en fiches. Du moment qu'on parle de toi ça te vas ! C'est bien connus, plus on parle de toi plus on te fait de la publicité et ça c'est bon pour ton business, peut importe la nature de ses paroles. Du moment qu'on ne s'en prends pas à toi, tu laisses les gens dire et faire ce que bon leur semble. Tu pourrais même t'amuser à faire entretenir ses rumeurs si elles n'étaient pas fondés et que tu craignais pas qu'on finisse par découvrir la réalité. Pour l'instant, vous êtes un couple de l'ombre. Vous tenez l'un à l'autre, peut-être plus que vous ne voulez bien vous l'avouer à vous-même.

Tu portes la coupe de champagne à tes lèvres à nouveau, regardant autour de toi si de potentiels investisseurs pourraient te faire de l'ombre ce soir en proposant plus que toi. Car si tu es l'homme le plus puissant de National City, il y en a des bien plus puissant encore dans le reste du pays et du monde. Ce contrat t'assurerais une place parmi les élites et assureraient un peu plus encore ta suprématie au moins en ville. Et puis vous avez finit par aller à la rencontre de ces hommes qui dévisagent un peu trop Gabby à ton avis. Si tu affiches un sourire des plus rassuré, tu te crispe à l'intérieur n'ayant qu'une envie, leur coller ton poing dans la figure. Mais ce contrat est bien trop important pour que tu prennes un tel risque. Alors tu marques ton territoire dans la finesse, sans pour autant insinuer quoi que ce soit.

-« Et puis j'ai promis à sa famille de ne pas la laisser aux mains des premiers grand hommes qu'elle verras. Pas de chance vous êtes les premiers.» Tu le dis sur le ton de l'humour Max, mais pour toi ces hommes n'ont rien de grand. Ce sont simplement des pervers qui tentent de s'envoyer une femme toujours plus jolie que la précédente. Mais cette femme est la tienne et jamais tu ne laisseras qui que ce soit s'en approcher. Tu pourrais tuer celui qui insisterait trop. Après avoir signer cet accord bien sur, mais tu en serais capable. Tu as déjà agressé des hommes pour moins que ça. Tu apprécies cependant le comportement de Gabby qui jusque-là n'a pour le moment rien gâché et tu es rassuré quand à sa prestation au milieu de tout ces gens tous plus riches les uns que les autres. Elle à peut-être l'étoffe d'être ta compagne finalement. Tu souris intérieurement en pensant à ça pendant qu'un des membres du conseil t'interroge sur l'intérêt de cette soirée, assurant que tu ne dupais personne et qu'ils savaient pertinemment que tu voulais faire partir de ce projet.

-« En effet. Lord Technologies et le maitre dans le domaine de la recherche sur le futur, vous pourriez bénéficier de mon financement et de nos quelques avancées en la matière. Nous avons déjà menés nos propres recherches et avons du matériel en avance sur n'importe quel laboratoire. De plus j'ai promis de faire un chèque de dix millions de dollars pour la cause si nous parvenions à un accord.» L'un des membres manqua de s'étouffer à l'annonce de la somme que tu leur propose. Il regarde ses collaborateurs et nous indique qu'il lui faudrait le temps de la réflexion, ils devaient en discuter. Tu acquiesce, bien sur qu'ils peuvent réfléchir ce n'es pas une mince décision. Pourtant l'un d'entre eux semble mettre une condition à ces négociations qui te fait bouillir de l'intérieur. Gabby, pour une soirée. Tu tentes de garder ton calme alors que si tu t'écoutais cette homme serait déjà dans ta limousine aux mains de tes hommes pour que tu puisses lui régler son compte.

-« Gabbrielle est sous contrat avec Lords Technologie dans le but de pouvoir faire tourner la tête à des hommes comme vous afin de devenir une négociatrice hors pairs. Elle n'est pas destiné à devenir une monnaie d'échange. De plus, je ne fais pas dans ce genre de business. Je suis désolé mais je me vois dans l'obligation de refuser. » Jamais tu ne saliras ton nom avec de telles négociations dégueulasses et encore moins laisser ses porcs passer sur ta femme, ce serait un coup à ce que plus jamais tu ne la touches hors là n'est pas le but. Tu t'excuses auprès d'eux en prétextant leur laisser le temps de la réflexion entrainant Gaby avec toi.

-« Laissons ses monsieur discuter un peu. Je te propose de te laisser vaquer à quelques discussions afin de ne pas avoir l'impression de faire la .. potiche.» Tu souris, la provoquant dans tes paroles. Mais après tout c'est elle même qui s'est définie ainsi. 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu ne sais pas ce que Max a prévu pour toi. Malgré tout tu aimerais lui dire que tu n’es pas à l’aise avec ces hommes. Ton QI est certainement plus élevé que celui de ces hommes qui se prétendent être des hommes de science. Ils ne sont rien d’autres que tu n’es pas. Leur portefeuille est sûrement ce que leur parent leur a toujours donné. Mais tu fais bonne figure. Tu sais qu’il ne te laissera pas aux mains de ces hommes, enfin c’est ce que tu espères. Alors qu’il ajoutait qu’il avait promis de faire attention à toi, un léger sourire se dessina sur tes lèvres. Le fait qu’il prenne un peu ta défense te faisait du bien, comme une preuve qu’il y avait peut-être bien plus que du sexe entre vous.
Tu l’écoutes quand il explique que l’entreprise compte investir dans le programme qu’ils défendent mais contre toutes attentes, ton prénom apparait dans les négociations. Inconsciemment, tu te rapproches de Max comme pour lui montrer que cette condition ne te rassure pas du tout. Tu as beau aimé le provoquer s’il venait à accepter ces conditions, jamais tu ne pourrais lui pardonner, peu importe ce qu’il ferait ensuite.

Cependant tu ne t’attendais pas à ce qu’il te défende de cette manière. Tu baisses légèrement les yeux en souriant de soulagement quand tu entends ses paroles. Pour le coup, tu te sens mieux, comme si on venait de t’enlever une épine. Tu le suis quand il s’éloigne avec toi. Mais quand il te propose de te laisser faire ce que bon te semble, tu hésites un instant. Ton regard se tourne à nouveau vers les hommes qui ne vous quittaient pas des yeux.

- « Propose moi de danser dans dix minutes. » que tu souffles avant de retourner te balader.

En soit tu aurais aimé pouvoir l’embrasser sur la joue ou lui serrer la main. Mais tu ne pouvais pas. Pas alors que de nombreux regards étaient tournés vers vous. Tu te contentes donc pour le sourire. Tu finis ton verre de champagne avant de le poser sur le plateau d’un serveur.
Les hommes qui te lorgnent sont toujours à la même place et quand tu t’approches d’eux, tu te racles légèrement la gorge.

- « Veuillez m’excuser, je crois qu’il y a un malentendu. » que tu commences comme si tu étais gênée. « Je ne suis pas disponible pour le soir mais si vous voulez m’accompagner pour une danse… » que tu sous-entends alors que la musique semble inviter à une danse de salon.

Tu attends une réaction et celui qui avait demandé une soirée avec toi arqua un sourcil avant de tendre sa main pour t’inviter sur la piste de danse. Tu te laisses entrainer au centre de la salle alors que très peu de personnes étaient en train de danser. Alors que la musique commence, tu souris doucement en le laissant poser tes mains sur toi.

- « Nous sommes bien d’accord qu’après cela, le marché est conclu. » que tu souffles à son oreille.

Il lâcha un léger rire avant d’insister pour une soirée mais tu déclines. Il te trouve dure en affaire et si seulement il savait ce qui te lie à Max il éviterait peut-être de se permettre de laisser tes mains sur toi. Mais tu sais que si tu as ce contrat, Max sera fier de ce que tu as fait, enfin tu espères.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Peut-importe ce que peux bien dire ton contrat passé avec Gabby Maxwell. Tu penses au futur avant tout, tu es un stratège avec toujours dix coups d'avance sur les autres alors jamais tu ne pourras laisser Gabby aux mains de qui que ce soit. Si tu prévois de faire cette femme ta compagne officielle un jour quelle serait votre réputation si elle commençait par ce genre de révélations comme quoi tu aurais vendus ta femme contre un contrat avec un laboratoire ? Non jamais tu ne pourrais faire ça, jamais tu ne permettras qu'elle soit traité avec aussi peu de respect car même si pour le moment tu caches votre relation, une femme non respecté ne porterait plus aucun intérêt pour toi, alors tu la défends, finement mais tu la soudes à Lord Technologies pour t'assurer que personne ne tenteras quoi que ce soit avec elle. Tu as mal à l'aise avec cette situation parce-que tu te rends compte que cette démarche entamée par ces messieurs a fait remonter en toi un sentiment inconfortable de jalousie excessive et tu détestes ça parce-que tu te sens vulnérable. Tu te voyais déjà avec cet homme à genoux en train de lui serrer la gorge jusqu'à ce que mort s'en suive, où bien avec une clefs à molette en train de lui refaire le portrait. Tu n'es pas un homme ordinaire, tu as certaines manières de régler tes comptes peu orthodoxe mais tu les contrôles lorsque cela s'avère nécessaire.

Tu vois le sourire qu'elle affiche sur son visage en ta direction, certainement sa façon à elle de te remercier mais tu aurais envie de lui rappeler de bien faire attention. Chacun ici observe vos moindre faits et gestes, déjà persuadés que vous êtes ensemble alors que tu as tout mis au clair dans la presse quelques semaines auparavant en la présentant comme une amie de la famille. Ce n'était peut-être pas la meilleure des solutions, un membre direct de la famille aurait certes été plus risqué mais certainement plus judicieux pour éviter ce genre de rumeurs. Alors tu n'es pas certain que l'inviter à danser soit la meilleure des idées pour la sortir d'un traquenard dans lequel elle s'est vraisemblablement embarqué. Ton visage se fait sévère alors qu'elle part en direction de l'homme qui l'a sollicité pour une nuit tout à l'heure. Tu te demandes ce qu'elle peut bien manigancer et tu dois bien avouer que ça t'inquiète un peu Maxwell en plus de cette jalousie qui monte en toi alors que tu vois les mains de cet homme se poser sur ceux de ta femme. Tu attrapes une autre coupe à un serveur qui passe pour avaler cette haine qui monte en toi et te faire redescendre. Si jusque là tu ne la lâchais pas du regard, tu finis tout de même par t'en détacher de peur que ça attire des soupçons. Alors qu'une personne vient te saluer, tu échanges quelques politesses avec avant de parler affaire comme toujours, les gens veulent toujours savoir si le puissant Lord se porte bien ou si il va enfin descendre de son piédestal et se ramasser la gueule bien comme il faut pour laisser la place aux autres. Tu la rassure de ce côté là puisque tes affaires se portent à merveille, il ne manque qu'un petit plus pour te combler de bonheur et ce petit plus c'est certainement l'homme qui danse avec ta petite amie qui vas en décider.

Tu poses ta coupe avant de te diriger vers ce couple qui danse, tu es trop inquiet Max et peut-importe ce que les gens penserons, tu vas la sortir de cette danse pour discuter avec elle. Tu t'approches avant d'interpeller l'homme.

-« Vous permettez, mon apprentie et moi devons discuter de ces négociations.» Son sourire en dis long mais tu n'en as que faire. Il te confie la main de Gabby que tu saisie dans la tienne avant de poser l'autre sur sa hanche. Tu l'entraines alors sur le rythme doux de la musique pour plonger un regard inquisiteur dans le siens afin d'obtenir des réponses. Tu ne peux rien y lire, elle sait bien cacher son jeu et encore une fois si c'est quelque chose qui te plait pour le business à suivre c'est une chose qui t'inquiète au plus haut point pour vos relations personnelles. Non Max, elle n'est plus qu'un simple plan cul pour toi, sinon pourquoi lui aurais-tu fait signer ce bout d'papier. C'est une façon pour toi de dire que tu tiens à elle, sans pour autant avoir à le prononcer.

-« Je peux savoir ce que tu manigances avec ce porc ?» Tu n'y vas pas de main morte dans ta description du précédent cavalier de Gabby. Elle a certainement compris que ça ne t'as pas plut des masses même si tu n'affiche rien sur ton visage. Tu sais contrôler tes sentiments et tes rancoeurs Max, combien de fois as tu souris à un mec que tu étais sur le point de tabasser ? Tu sais jouer des courbettes malgré que tu sois un homme, ce métier te l'imposes et tu ne pourrais pas décrocher beaucoup de contrat si tu éliminais tout ceux qui se trouvent sur ton chemin, bien que l'envie ne t'en manque pas. Une fois ce contrat obtenue de toute façon et que tout sera signé, tu auras quelques comptes à régler avec ce type. Et cette fois-ci il ne seras pas question d'un pactole si vous voulez mon avis .. 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Il déteste te voir dans les bras d’un autre Gabrielle. Ce n’est pas pour rien qu’il a demandé à ce que votre relation soit exclusive. Mais la presse à scandale sait aussi faire avec ce que vous pouvez offrir. Vous faites un beau couple tous les deux et si ton envie de préserver ta réputation n’était pas aussi puissante, sûrement l’aurais-tu embrassé pour montrer à tout le monde de quoi il en découlait. Mais ce n’était pas dans ton contrat. D’ailleurs tu sentais qu’il aurait préféré que tu ne lui lâches pas un sourire, mais tu en avais besoin. Au moins pour le remercier. Toi qui pensais que Maxwell Lord était prêt à tout pour ce contrat finalement tu avais tort. Il semblait tenir plus à toi que tu ne le pensais.
Cependant tu vois à quel point la proximité de cet homme avec toi le dérange. Tu aurais aimé pouvoir le rassurer, lui lancer un regard, mais il vaut mieux que les autres pensent que tu es sous le charme de ce pervers. C’est mieux pour votre couverture et pour les ragots. Alors quand tu l’entends revenir pour te sauver, tu ne le regardes pas tout de suite, te contentant de murmurer à l’oreille de l’homme. Tu sais qu’il va détester ça et en même temps, c’est aussi la solution pour qu’il ait son contrat.

Tu baisses la tête devant Max, comme si tu venais de te faire engueuler. Tu sais ce que tu veux et tu sais faire semblant. Il veut te tester alors voilà il peut tout faire. Cependant ce n’est peut-être pas ceux à quoi il s’attendait. Un soupir quitta tes lèvres alors qu’il t’entrainait sur la piste.

- « Je négociais. » souffla-t-elle simplement. « Il a accepté. Dans un heure ton contrat sera signé. » souffla-t-elle.

Enfin, tu ne lui dis pas tout. Tu sais qu’il a posé une condition et que Maxwell ne serait peut-être pas du même avis, mais tu ne pouvais pas le laisser perdre ce contrat pour toi. Alors tu le laisses fulminer. Tu as envie de l’embrasser pour le rassurer, mais tu ne peux pas et cela te frustres au plus haut point.

- « Il veut que je sois présente pour la signature mais normalement tout est bon. Tu as ton contrat. » que tu lui avoues simplement avant de reprendre. « Merci pour tout à l’heure. » que tu ajoutes finalement.

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu n'es pas surprit qu'elle n'en ai fait qu'à sa tête Maxwell et tu es loin d'en être ravie. L'idée de partager la gloire de l'obtention de ce contrat même avec ta compagne t’exaspère et te déplais au plus au point. Elle n'avait pas à intervenir mais elle l'a fait quand même. Tu es agacé parce que ce contrat devait être le tiens, tu n'as pas besoin qu'une femme promette quoi que ce soit pour avoir un contrat, tu avais les moyens de les faire plier par toi-même. Mais elle n'a pas put s'en empêcher, il a fallut qu'elle te montre ses talents. Talents qui seront certes très utiles à ton entreprise, mais tu n'as pas envie qu'elle te fasses de l'ombre. Lord Technologie est ton business, ton affaire. Tu lui avais demandé de rester en retrait, mais elle n'a pas voulus.

-« Je t'avais demander de ne pas intervenir.» Réponds-tu sèchement, la danse que vous menez au milieu de tout ce beau monde à beau être très douce, votre discussion à venir seras certainement tout l'opposé. Ton regard se fait de nouveau sévère alors qu'elle baisse le siens voulant faire croire à une dispute qui est certainement sur le point de débuter. Tu pourrais gâcher la soirée Maxwell avec tes exigences et ce ne serais pas la première fois. Tu n'y peut rien, ton égo démesuré t'empêche de te réjouir de sa prestation. Elle n'est pas encore destiné à mener des négociations à ta place et sur ce plan tu avais été clair. Pourtant, elle l'a fait quand-même et bon sang ce que ça peut t'énerver.

-« J'avais les moyens de les faire plier sans que tu interviennes. C'est la raison pour laquelle je t'ai laissé en retrait. A l'avenir, tu devras suivre mes directives, sans quoi ça ne pourras pas fonctionner.» Tu es dure avec elle Maxwell mais si y'a bien une chose que tu déteste c'est que l'on passe outre tes ordres. Tu as beau être son petit ami, ce soir aux yeux de tous tu es son patron. Tu avais clairement annoncé que dans le futur elle serait une négociatrice hors pairs pour Lord Technologies mais que ce jour n'était pas arrivé. Pour qui vas-tu passer désormais auprès de ces hommes ? Toi qui a voulus la protéger du mieux que tu pouvais, elle n'a pas hésité à aller flirter avec cet homme pour obtenir ton contrat et ça t'as déjà mis hors de toi. A quoi bon essayer de la protéger si elle se met elle-même en danger par la suite ?

-« De rien. Mais ces hommes-là ne se laisse pas arrêter par un refus venant d'une femme. Je t'ai mis à l'abris de leurs courtises et toi tu t'es remise en plein dedans, donnant presque ton aval. Il se ficherons de ce que j'ai bien put leur dire maintenant.» En passant outre ta protection, elle s'est mise elle-même en danger. Ces types sont du genre très insistant, à la limite du harcèlement et quand ils ont envie d'obtenir quelque chose, ils l'obtienne par tous les moyens. Ces types sont dangereux et elle ne le comprend pas encore. Tu as tout fait pour la protéger ce soir Maxwell, mais elle en a décidé autrement. Désormais, tu vas devoir doubler sa protection, pour être certain qu'il ne lui arrive rien. Pendant qu'ils seront occupés à surveiller Gabby, ils ne pourront pas être ailleurs. Tout ça parce-que mademoiselle à voulus faire ses preuves ..
 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu ne comprends pas ce qui se passe Gaby. Tu voulais lui montrer à quel point tu étais dine de lui, négociatrice hors pair le soir et totalement folle de lui la nuit. Mais tu avais tors le regard qu’il te faisait, la manière dont il te parlait, tout montrait qu’il était furieux. Et comme à chaque fois que c’était le cas, tu l’étais aussi. Ton déplacement à cette soirée n’avait jamais été justifié, tu ne comprenais même pas pourquoi il avait osé faire ça. Il était juste un fou furieux finalement, le genre d’homme qui voulait absolument avoir le contrôle sur tout mais tu n’étais pas comme ça. Tu n’es pas un toutou que l’on arbore à son poignet pour faire joli. Tu n’es pas une potiche qui rit à la moindre vanne d’un homme qui te regarde comme si tu étais nue. Non. Tu étais bien plus que ça, une scientifique ultra réputée. Pourtant cet homme te ramenait à ce que tu détestais le plus, ton sexe. Et cette réalité te blessait beaucoup plus que ce que tu ne le pensais. Alors tu ne répondis rien sur le coup. Enfin jusqu’à ce qu’il continues et que tu ne puisses plus continuer.

- « Bien Monsieur Lord. » que tu lâches en guise de fin de discussion avant d’arrêter de danser. « Maintenant excusez-moi mais j’ai besoin de prendre l’air. » que tu laisses tomber d’une voix neutre.

Tu sais qu’il déteste ça. Ne pas comprendre ce que tu ressens, ne pas réussir à déchiffrer ton regard. Tu fais exprès de t’en servir contre lui parce qu’il ne va de cesse de réfléchir à ce que tu pourrais penser. Pourtant, tu as vraiment besoin de prendre l’air à cet instant. Tu n’es pas dans ton laboratoire, tu ne peux pas t’échapper en prétextant du travail de recherches cette fois. Alors tes pas te mènent sur un balcon à l’extérieur. La vie est plutôt belle et si tu n’avais pas envie de hurler contre Max, sûrement que tu en aurais profité pour découvrir un peu plus le jardin qui s’offrait à toi.

Tes mains se serraient contre la rambarde alors que tu mourrais d’envie de frapper ton patron. Après tout ce que tu avais montré pour lui, il continuait encore et encore de te prendre pour une moins que rien. Peut-être que tu devrais laisser tomber cette idée de contrat. Peut-être que c’était la bonne solution finalement. Un soupir quitta tes lèvres alors qu’un homme que tu ne connaissais pas te rejoignait dehors. Tu te contentas d’un sourire alors qu’il se présentait.

- « Gabrielle Stuart. Je suis une amie de Maxwell Lord, il m’apprend le métier. » expliques-tu à cet homme qui ne semble pas malintentionné. « Je suis scientifique en effet. » que tu ajoutes lorsqu’il te pose la question.

Bien sûr quand deux scientifiques se rencontrent, la conversation tourne forcément autour du sujet du jour. Tu aimes pouvoir partager tes connaissances, discuter avec lui te change les idées. Tu sais à quel point Max peut être un maniaque du contrôle et tu oses espérer qu’il ne cherchera pas à gâcher ce moment avec cet homme. Cependant quand il te propose de rentrer pour danser, tu hésites un instant. Tu ne le vois plus dans ton champ de vision. Pourtant tu acceptes. Après tout il veut que tu observes, que tu enquêtes contre ceux qui sont là. Alors tu te laisses entraîner sur la piste alors que le blond qui t’accompagne te respecte en ne t’imposant pas une distance beaucoup trop réduite.

 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Comme tu t'y attendais elle n'as pas du tout bien prit ton point de vue pour ce qui vient de se passer. Pourtant tu choisis tes mots Maxwell tu es bien plus cruel avec bon nombre de tes employés et beaucoup se sont fait virer pour moins que ça. Mais Gabby n'est plus simplement ton employée, elle est aussi celle qui partage ton lit et qui de plus en plus partage désormais ta vie. Tu n'as pas encore le mode d'emploi pour ça, trop blessé déjà par la seule et unique femme que tu n'as jamais aimé tu t'es forgé une carapace dur comme du béton armée qu'il est difficile de faire exploser. Alors tu ne choisissait plus tes mots Max, plus depuis longtemps. Quand tu avais quelque chose à dire tu ne passais pas par quatre chemins et c'est un peu ce qui s'est passé encore ce soir et tu t'en rends compte maintenant qu'elle vient de te planter au milieu de la piste de danse. Tu es vexé, on ne plante pas Maxwell Lord comme ça, jamais. Tu n'as pas l'habitude qu'on te résiste et qu'on fasse front contre toi non, tout le monde te lèche les bottes à longueur de temps et s'occupe du moindre de tes caprices sous peine de se voir expédier comme Gabby vient de le faire à présent pour toi.

Tu la regardes s'éloigner et tu lui en veut Max de te laisser là comme ça, seul et dans l'incompréhension la plus totale. Incompréhension parce-que malgré que tu aie certainement mal choisit tes mots encore une fois, tout ce que tu voulais c'était la protéger. De façon discrète tu avais démontrer que cette femme t'appartenait, pas de la manière dont elle l'aurait voulus certainement puisque cela faisait partie du contrat pour le moment, mais tu avais voulus la protéger de ces hommes qui ne voyait en elle qu'une femme de plus à mettre dans leur lit. Et sans t'en rendre compte Max c'est aussi à ça que tu l'as résolue ce soir en la laissant complètement de côté pour ces négociations. Tu voyais en cette soirée l'occasion d'avoir une couverture pour passer une bonne soirée avec elle, soirée que tu viens définitivement de gâcher visiblement. Du coup tu es encore plus énervé, tu avais de bonnes raisons de la laisser à l'écart, elle était censé être novice ne pas savoir négocier, ce soir elle t'as démontrer le contraire, mais aussi à ces hommes qui la croyant débutante tout comme toi. Tu t'accoudes à une de ses tables rondes auxquelles seule deux ou trois personnes peuvent tenir avec un verre seulement, verre que tu viens de prendre et avec lequel tu joue nerveusement. Tu n'es pas au bout de tes peines Maxwell, quand tu la voit arriver avec un autre homme pour lui offrir une danse, le champagne qui circule dans ton sang est en train de bouillir avec. Sans la lâcher de ce regard désapprobateur tu prends une gorgée, avant de fixer ton verre. Tu l'as comprit, elle veut te faire payer ton comportement et tu le paie bien comme il faut.

Toi qui ne fume que rarement ce soir tu en as besoin. Tu es sortis prendre l'air pour t'en griller une, tu refuse d'assister à ce spectacle qui te rends complètement malade de jalousie et dieu sait à quel point tu déteste qu'une femme ai ce pouvoir sur toi. Tu n'as pas ressentis ça depuis trop longtemps et désormais, tu as du mal à le contenir. Tu ne cesses de regarder ta montre, espérant vite en finir avec cette soirée qui tourne au désastre. Tu navigues entre les invités pour te donner l'air de rien et la laisser faire ce qu'elle veut, après tout c'est ce qu'elle avait voulus. Quand l'heure arrive enfin, tu te dirige vers Gabby et son .. cavalier. Un sourire forcé sur le visage, à nouveau tu t'adresses à un homme pour récupérer ta femme, c'est déjà la deuxième fois ce soir et ça commence sérieusement à t'agacer.

-« Excusez moi de vous déranger. Gabby. On as un contrat à signer. Suis-moi.» Tu fais comme si de rien n'était, mais tu sais pertinemment qu'elle à déjà déchiffré ton comportement et qu'elle sait à quel point tu es en train d'être bouffé par la jalousie. Mais tu ne veux pas lui donner satisfaction en confirmant ça alors tu prends les devants et donne la marche à suivre. Vous vous rendez vers ce qui semble être une salle de réunion où les hommes sont déjà présents et assis, le contrat déjà édité.

-« Alors Axel, maintenant que votre exigence est présente, peut-être pourrions nous passer à la signature de ce contrat.» Tu souris et tire la chaise de Gabby pour qu'elle puisse s'installer à tes côtés, ensuite tu t'installes à ton tour. Tu aurais fait la même chose pour n'importe quelle autre femme, qu'elle n'y voit pas là une sorte de tentative de te racheter, tu es simplement un gentleman, bien qu'un peu macho. Attrapant le contrat que l'on te tends, tu le fait glisser jusqu'à Gabby, afin qu'elle y jette un oeil avant de prendre l'autre exemplaire pour le regarder à ton tour. Tu prends le temps de le lire Max, tu ne veux pas risquer qu'on t'arnaque avec tu ne sais quelle clause que tu pourrais toi-même avoir écrit si tu étais l'auteur de ce contrat. Tu sors alors ton plus beau stylo de ta poche intérieur ainsi que ton carnet de chèque. Tu signes le contrat avant de faire le dit-chèque tu as promis.

-«Comme promis, voici dix millions de dollars en échange de ce contrat. Faites-en bon usage messieurs, désormais je vais suivre l'évolution de ces recherches de très près. Gabrielle vous fera parvenir le résultat de nos propres recherches dans le courant de la semaine et s'occupera de faire sa part de recherches avec vos données supplémentaires. En cas de succès, nous vous tiendront informer. » Tu ranges ton stylo dans la poche de ta veste avant de te lever de ton siège pour serrer la main tour à tour de ces hommes, invitant Gabby à en faire de même. Puis tu prends congé de la pièce, Gabby à ta suite. Désormais, tu n'as plus de raison de rester ici, tu as fait ton don, tu as obtenue ton contrat et t'es fait un peu de pub au passage. Tu te tourne vers ta compagne la questionnant quant à la suite de cette soirée.

-«Je te laisse ici avec ton cavalier,je te raccompagne ou alors on va boire un verre pour fêter ce contrat ?» Oui tu l'as toujours en travers celui-là et tu ne t'en cache pas. Et puis tu doutes qu'elle veuille encore passer le reste de la soirée avec toi. Mais tu demandes au cas-où elle se serait un peu calmé, ce qui n'est absolument pas ton cas. Tu es toujours fou de jalousie après tout ces types qui l'ont abordé ce soir.
 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Ton regard se pose dans celui de Max. Tu sais qu’il n’aime pas ça, mais il ne t’a pas interdit de discuter avec des scientifiques. Cet homme l’est et bien qu’il soit du sexe opposé, il te respecte et n’hésite pas à partager son savoir. Il fait partie des chercheurs travaillant sur le projet qui intéresse Maxwell alors s’il veut être sûr d’avoir des informations sur le projet et qu’on ne lui cache rien, peut-être devrait-il mettre de l’eau dans son vin. D’ailleurs tu ne t’empêcheras pas de lui faire la remarque. Il lui semble donc impossible d’accepter que tu vois un autre homme bien que cet homme pourrait lui servir. Peu importe ce que tu pourras lui dire, la seule chose qu’il conclura c’est que tu n’es qu’une femme sans vertu qui n’a pas peur d’aller vers un autre pour avoir des informations. Sûrement n’aurait-il jamais confiance en toi et rien que d’y penser cela te terrifie. Tu es bien incapable de t’engager avec un homme qui ne te croie pas Gabrielle.

Tes yeux ne le regardent plus, tu préfères te concentrer sur les mots du blond aux yeux bleus devant toi. Seulement tu te raidis un peu lorsque tu entends la voix de Max derrière toi. Tu laisses un sourire se dessiner sur tes lèvres alors que ton partenaire te laisse suivre ton patron. Il te laisse sa carte de visite pour que tu puisses le contacter plus tard pour avoir de nouvelles conversation entre scientifiques. Bien sûr Max ne va pas apprécier mais il ne t’a pas interdit de discuter avec d’autres personnes. Tu n’es pas là pour faire la potiche après tout. Mais tu le suis vers la salle en question. Tu sais à son comportement qu’il bouillonne intérieurement mais tu as besoin aussi qu’il comprenne qu’il n’a plus le choix s’il te veut à ses côtés. Tu ne seras jamais le genre de femme à toujours suivre l’homme avec qui elle a une relation. Si tu as des sentiments pour lui, tu ne pourras jamais tout accepté. Jamais.

Bien que tu sois présente, tu ne dis rien, te contentant de faire la jolie fille que tout le monde a besoin de croire que tu es. Cela t’attriste de devoir montrer seulement ça de toi mais c’est ainsi. Tu sais ce que ton contrat implique même si tu as bien envie de rompre tout d’un coup. Un sourire se dessina sur tes lèvres alors que tout le monde semblait heureux de ce contrat. Seulement ce n’était qu’une façade que tu mettais devant toi. Un soupir quitta tes lèvres alors que tu espérais t’en sortir. Tu n’étais pas comme ça. Jamais. Pourtant tu le faisais. Max fit son chèque de dix millions comme s’il donnait dix dollars et un instant tu sentis un vertige te prendre. Négocier n’était pas compliqué mais jamais tu n’avais vu autant d’argent sur la table.

Tu serras la main de chacun des hommes devant toi et tu quittas la pièce. Cette soirée était un véritable gâchis. Si tu pensais que cela se passerait bien, tu étais loin du compte finalement. Un soupir quitta ses lèvres alors qu’il continua de faire son matcho. Tu n’avais plus envie de te prendre la tête, la fatigue et le tournis de tout ça avait eu raison de toi. Jamais tu ne t’étais autant pris la tête pour si peu. Alors tu te contentas simplement de soupirer.

- « J’aimerais rentrer. » te contentas-tu de lui répondre sur un ton fermé. « Tu as ton contrat donc on a terminé. » que tu te contentes de rajouter avant de te diriger vers la sortie.

Bien sûr, tu l’attendis après avoir récupérer ton manteau. Tu ne devais pas prendre les devants, surtout pas avec la foule de journaliste et photographe qui se trouvaient toujours devant. Tu étais perdue à présent et la seule chose que tu avais besoin c’était un peu de normalité. Si s’engager avec lui devait ressembler à ça, tu n’étais plus vraiment sûr que c’était une bonne idée finalement. Ton regard perdu se dirigea vers le sien alors que tu l’attendais pour rentrer. Tu le suivis à l’extérieur jusqu’à la limousine, t’installant dans un coin sans vraiment savoir quoi faire ou quoi dire. Te prendre la tête était loin de te plaire à cet instant et tu espérais qu’il n’allait pas chercher à t’engueuler pour avoir discuté avec un autre.

 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Soirée cauchemardesque que tu viens de vivre Maxwell. Si tu y voyais-là une occasion de sortir avec ta compagne en toute discrétion et passer une agréable soirée il n'en avait été rien. Pourtant vous étiez bien partis dans la limousine, tu te voyais déjà lui retirer ses vêtements à l'issue du gala pour fêter ce fameux contrat, au lieu de ça la soirée se dirigerai plus vers un chacun chez soit plutôt qu'un câlin sous la couette. Tu avais passé ta soirée entre crises de jalousies et surveillances constantes de Gabby en plus de devoir la rappeler à l'ordre entre deux de vos disputes par rapport à son comportement. Mais pourquoi étais-ce si compliqué pour elle de comprendre qu'elle devait simplement jouer les novices ? Tu n'avais pas été un connard à l'extrême Max, jamais tu n'avais pensé faire d'elle une potiche, seulement elle devait se faire passer pour une débutante pour les deux ou trois premières rencontres que vous alliez avoir ce n'est pas si difficile à comprendre si ? Pourquoi c'était-elle imaginée que tu avais organisé tout ça dans le simple but de la rabaissé alors que ce n'était absolument pas le cas et tu étais fatigué de cette soirée Max, fatigué de t'être battus contre du vent depuis environ trois heures.

Alors tu ne relèverai plus rien Maxwell, ni cette carte de visite échangé avec ce jeune chercheur, beau comme un dieu et qui t'avait énervé déjà au plus haut point, ni les sourires qu'ils avaient échangés, ni même les rancoeurs de Gabby. Tu étais fatigué, tu n'avais qu'une idée en tête, faire virer tout ceux qui avaient put l'approcher de trop près ce soir, leur en faire baver et avaler un bon verre de whisky. Le champagne te restait en travers pour le restant de la soirée. Elle avait décidé de faire la gueule, très bien qu'elle continue, toi tu continues de fulminer dans ton coin alors que tu essaie de le cacher malhabilement. Sans un mot aux journalistes, sans une pause de départ aux photographes, emboitant le pas de tes jambes élancées en quatrième vitesse, tu te réfugie dans ta limousine. Tu donneras une conférence demain, quand tout ceci te seras redescendu, parce-que là tu pourrais tuer le premier qui te prends la tête, de sang froid, simplement pour te calmer.

-«Alors, où est-ce que je te déposes ? » Tu n'as pour l'instant pas l'intention de la suivre Maxwell et après qu'elle t'ai indiqué auquel de ses domiciles elle voulait se diriger. Tu avais mis à sa disposition un appartement dans lequel elle pourrait vivre, aux frais de Lord Technologies, refaire la déco, se sentir comme chez elle et où vous pourriez passer d'agréables moments comme si il s'agissait de chez vous, sauf que tu n'emménageait pas pour le moment Maxwell. D'ailleurs vous n'avez pas encore eu le temps de passer une nuit complète comme tu le lui avais promis dans cet appartement, tu avais toujours eu un empêchement bien que celui-ci soit dissimulé. En réalité tu avais proposé cette solution dans l'euphorie de la signature de votre contrat, mais tu n'en avais pas encore eu le courage. Vous ne sortiez pas ensemble depuis assez longtemps pour être certain que votre relation survivrait à tous tes caprices et tu avais peur de souffrir Max, souffrir comme ce fut le cas avec Magda, plus jamais tu ne voulais revivre ça. Et ce soir, elle te prouvais presque que tu avais raison de te méfier, alors tu n'étais pas prêt de franchir ce cap avec elle. Tu commençais presque à douter de cette relation. Vous faisiez tous les deux la tronche et y'en a pas un qui voulais lancer les hostilités. Pourtant tu bouillais Max, tu bouillais de voir la tournure qu'avait pris les choses, tu étais blessé et comme un animal tu te retranchais dans tes pensées. Tu fus finalement le premier à ouvrir la bouche, trouvant cette situation insupportable à tes yeux.

-« Bon je suis désolé mais la soupe à la grimace c'est vraiment pas mon truc. Tu me renverras mon chauffeur quand il t'auras raccompagné. Evan, arrêtez vous là je vous pris.» Lentement la limousine se stoppa et tu ne te fis pas prier pour sortir de là. Tu irais prendre un verre dans un bar pour te calmer en attendant qu'il revienne te chercher. Tu sors donc de la limousine et emboite le pas vers la première ruelle que tu trouve cherchant à disparaitre de son champ de vision. La pluie commençait à tomber et tu étais en train de te maudire de ne pas avoir pris de parapluie alors que celle-ci était en train de bousiller ton costume trois pièces à cinq milles dollars, puis une voix te stoppa dans ton élan, elle t'avait suivit.

-«Quoi qu'est ce que tu veux ? Je croyais que tu voulais rentrer, ba très bien vas-y rentre ! Je te met même mon chauffeur à disposition madame la marquise ! » Tu n'avais toujours pas digéré la façon dont elle avait pensé que tu l'avais traité ce soir et tu voulais le lui faire savoir, alors que la pluie tombait de plus en plus fort, toi tu trouvais que c'était le moment idéal pour une bonne engueulade ..
 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu n’aimais pas cette situation et pourtant tu ne voyais pas quoi faire pour désamorcer cette bombe qui se trouvait entre vous deux. Pourtant tu aurais voulus en parler avec lui, lui expliquer ce que tu pensais, que cet argent, cette négociation t’avait mise mal à l’aise. Tu n’étais pas quelqu’un qui avait envie d’autant d’argent et savoir que Maxwell en avait à ce point t’effrayait. À quel point cela pourrait te changer ? Vivre dans le luxe était loin d’être ce que tu avais toujours voulus, bien au contraire.
Cependant son comportement te blessait. Il ne te faisait pas confiance et tu n’avais aucune idée de ce qu’il attendait de toi. En même temps ce n’était pas ça une relation,tu n’avait pas à l’écouter pour qu’elle soit parfaitement dans le moule qu’il voulait. Mais ce contrat était le moule. Et il avait signé pour ça. Finalement elle se rendait compte à quel point cela serait compliqué pour elle d’assumer tout ça, toute cette notoriété, tous ces regards. Certes Max pouvait être possessif mais tu saurais gérer ça, mais voir ta vie aussi exposée et des regards t'épier avec envie... Tu n’étais pas sure qu’il s’agissait de ce que voulais vraiment. Mais à présent c’était trop tard. Au fond de toi, tes sentiments avaient bien trop évolué pour changer à présent. Ou il fallait un changement radical.

- « Chez moi s’il te plaît. »

Tu le regardes à peine, des larmes menaçant de couler sur tes joues. Comment as-tu pus être aussi naïve de croire que tu supporterais tout ça ? Ce n’était pas l’idée du siècle finalement. Sûrement était-il mieux pour vous que vous en restiez là.
Seulement tes pensées furent chassées quand il prit la parole. Tu ne comprenais pas ce qu’il lui prenait. Il avait eut son contrat, il était sur d’avoir les informations qu’il souhaitait. Tu comprenais qu’il soit énervé contre toi mais où allait votre relation si vous étiez incapable de vous parler ? Pourtant il quitta l’habitacle et tu interdis au chauffeur de redémarrer alors qu’il s’enfuyait sous la pluie. Un soupir quitta tes lèvres en envoyant ta tête en arrière.

- « Max ! » que tu appelles pour qu’il revienne.

Seulement il t’ignore royalement, t’obligeant de sortir alors que tu as payé y’a robe beaucoup trop chère. Tu cries à nouveau son nom alors que tu sors sous la pluie pour pouvoir le rattraper mais quand il te fait face, il te crache son poison et il te fait beaucoup plus mal que prévu. Un instant tu hésites à repartir pour aller t’enfermer chez toi et ne plus jamais le revoir. Mais seulement un instant. La seule chose que tu souhaites à présent c’est lui renvoyer l’ascenseur.

- « Arrêtes ! Je ne veux pas de ton argent ! Ce n’est pas ça qui compte ! Comment tu as pus être aussi égoïste ? Cet homme était un scientifique d’un laboratoire adverse Maxwell, je n’avais donc pas le droit de discuter avec des hommes aussi passionnés que moi ? Je devais rester à ton bras ? » que tu lâches à moitié épuisée, à moitié énervée. « Ce n’est pas mon monde. C’est le tien. Dépenser des millions en une soirée, cette notoriété, ces regards envieux... » que tu ajoutes en serrant tes bras autour de toi parce que la pluie ne tient pas chaud. « Je ne sais pas si je suis prête à vivre ça continuellement. Je suis désolée si cela ne t’a pas plut, j’ai détesté ça plus que tout et je pensais te rendre fier mais je me suis trompée. Sûrement que cette vie n’est pas pour moi. »

 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Tu n'avais pas daigné t'arrêter Maxwell, parce-que tu savais ce que ça signifierai si tu t'arrêtais pour lui faire face. Tu étais bien de trop énervé et tes mots pourraient dépasser ta pensée si tu lui sortais ce que tu avais sur le coeur en ce moment-même. Tu avais peur de l'issue de cette soirée Max, peur de ce qu'elle pourrait signifier pour votre couple et pour toi, tu le sais tu ne supporterais pas de souffrir une seconde fois. Déjà que la première t'a radicalement changé faisant de toi cet homme que tout le monde pense abominable et sans coeur, alors tu n'imagines pas et tu ne préfère pas imaginer ce qu'une seconde déception amoureuse ferait de toi. Parce-que oui, tu avais des sentiments qui s'étaient installés pour Gabby, elle n'était pas une femme de plus qui squattait ton plumard pour une partie de jambe en l'air, non tu voulais lui donner tellement plus Maxwell, mais tu es tellement changé que tout ce que tu saurais lui offrir ne sont que strass, paillettes et rivières de diamants. Tu es jaloux de tout et n'importe quoi, prêt à étripé le premier qui approcherai de trop Gabrielle, tu ne penses qu'à ta société et à l'image que tu véhicules, tu ne sais plus rien des rudiments de l'amour et ce soir tu en fais les frais.

-«Égoïste moi ?! Comment voulais-tu que je me sente quand la seule raison pour laquelle tu es allé dansé avec ce type c'est parce-que tu avais une dent contre moi ?! Et je te signales que je ne t'ai rien dit, je t'ai laissé faire, c'est ce que tu voulais après tout ! » Oui tu avais été jaloux Max, parce-qu'elle t'avait tourné les talons une fois de plus parce-que tu avais certainement fait une remarque désobligeante. Tout ce que tu avais voulus faire, c'était la protéger de ces types qui ne voulaient qu'une chose, la sauter et tu t'y étais mal prit Max, bon sang que tu avais été maladroit une fois de plus, elle avait prit cette protection comme une forme de machisme de plus de ta part et c'était braqué contre toi pour finalement faire conaissance avec ce gas que tu ne connais pas mais que dont l'existence ne te sera pas inconnue bien longtemps. Alors oui quand tu sais qu'une femme t'en veut et qu'elle te le fais savoir en te rendant jaloux de façon volontaire et bien tu réagis, tu es un homme après tout et tu as déjà bien de trop souffert pour prendre à nouveau des risques.

-« Est-ce la façon dont tu me vois Gabrielle ? Comme un type plein aux as qui n'as rien d'autre à foutre que de claquer son pognon pour t'épater. Il ne t'es pas venu à l'esprit que si je veux t'incorporer dans ce monde là, mon monde c'est parce-que j'ai envie que tu en fasses partie ?» Tu ne l'appelles jamais au grand jamais Gabrielle alors c'est dire si ses paroles t'ont blessés. Tu ne réponds pas moins maladroitement qu'elle d'ailleurs, parce-que les déclarations d'amour ce n'est pas ton truc et ça ne l'a jamais vraiment été. Tu dis les choses telle que tu les penses Max, ce qui te traverse l'esprit à l'instant T, sans filtre et pourtant tu tentes de faire des efforts avec elle parce-que justement tu aimerais éviter de la blesser, seulement voilà, tu n'as pas eu à faire ça depuis tellement de temps que tu en as perdus les rudiments.

-«Tu ne crois pas que tu aurais dû réfléchir à ça avant de t'engager avec moi ? Je suis désolé de t'avoir importuné et que tout ceci t'ai mise si mal à l'aise, rapporte moi le contrat demain, je m'occuperais de le détruire. » Ton ton se faisait beaucoup plus calme et ce n'était pas de bonne augure loin de là. Non si tu étais si calme c'est parce-qu'à nouveau une femme te blesse Max, elle agit avant de réfléchir et tu en souffre à nouveau quand tu comprends que vos mondes ne sont pas compatible, cette souffrance elle peut se lire dans ce dernier regard que tu lui jettes avant de tourner à nouveau les talons. Tu emboites le pas à nouveau, te frottant le visage humidifié par la pluie à l'extérieur, le comble c'est que si tu en avais été capable tu laisserais des larmes couler à cet instant, mais non, toi Max, tu intériorise toujours tout, que ce soit l'amour où la peine, c'est peut-être là après tout, le défaut relationnel que tu as.
 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

Finalement votre problème principal, c’est que vous ne vous comprenez pas. Tu te rends compte au fil de vos conversations qui vous emmènent sans cesse à des disputes. Sûrement voulait-il te protéger et tu n’as vus que sa jalousie. Sûrement voulait-il que tu fasses attention et tu n’as vus que le contrôle qu’il exerçait sur toi. Tu n’as vu que ce que tu voulais voir comme lui n’a vus que ce qu’il voulait. Vous ne vous comprenez pas et s’il ne pleuvait pas autant sûrement qu’il pourrait voir à quel point cette situation te brisait. Un soupir quitta tes lèvres alors que tu essayais de te calmer. Si vous vous y mettiez tous les deux, jamais vous ne pourriez avancer alors tu encaissais, préférant sauver ce qui pouvait être sauvée plutôt que de te prendre la tête comme il le faisait.

- « Je n’ai pas une dent contre toi... » que tu souffles.

Tu as envie de te défendre, mais cela ne ferait qu’envenimer les seules choses. Comme toujours. Alors tu te contentes de soupirer, de ne pas chercher plus loin pour l’instant. Il n’écouterait pas, il ne chercherait pas plus loin, se contentant de comprendre ce qu’il avait envie de comprendre. Un soupire quitta tes lèvres alors que tu le regardais. Tu voyais qu’il était blessé mais tu ne savais plus quoi faire pour que les choses changent, qu’il arrête de se monter la tête.

- « Max… » que tu tentes de dire mais il continue.

Alors tu attends, là sous la pluie, ton maquillage coulant sur ton visage, ne sachant même plus si c’est tes larmes ou la pluie. Tu sais que ta robe est foutue et la seule chose que tu pourras finalement garder c’est le collier qu’il t’a offert avant le début de la soirée. Tu passes une main sur ton visage même si cela ne changera rien. Tu sais très bien que tu es dans un piteux état, seulement, tu veux que ça se finisse, que vous mettiez les choses au clair, pourtant tu as peu que la moindre parole que tu diras passera mal de son côté alors qu’est-ce que tu peux faire. Seulement quand il te propose presque de rompre, tu baisses les yeux. Ce serait la meilleure chose à faire mais ce n’est pas ce que tu veux. Mais quand il tourne à nouveau les talons, tu n’as qu’une envie, lui donner une claque. Alors tu cris contre lui, encore une fois, comme une scène digne des pires films romantiques que tu as pu voir.

- « Maxwell Lord ! » que tu lâches en le suivant encore soulevant ta robe pour qu’elle ne traine pas trop au sol bien que c’est loin d’être efficace. « Je veux faire partie de ton monde ! Je ne me suis pas engagée sur un coup de tête, n’as-tu pas oublié le presque chantage que tu m’as fait ? » que tu rappelles simplement en te rapprochant de lui. « J’ai passé trois heures à essayer de trouver la coiffure et le maquillage parfait, j’ai pris la plus belle robe que je pouvais m’offrir, tout ça pour essayer d’être à ta hauteur, afin de ne pas paraître comme une tâche à cette soirée. Je veux quelque chose avec toi, j’y crois vraiment mais à chaque fois que l’on essaye de faire quelque chose, cela tourne forcément à la dispute. » que tu lui sors simplement. « Si je te voyais uniquement comme un type plein aux as, je n’aurais pas insisté pour me débrouiller seule pour ma tenue. Je ne t’aurais pas demandé de garder mon appartement. J’aurais peut-être demandé un salaire plus élever. Mais ce n’est pas ça dont j’ai envie, ce n’est pas ça que j’ai envie que tu m’offres. » que tu souffles.

Il est toujours dos à toi. Tu as eu l’impression de parler dans le vide presque. Tu espères simplement que ce n’est pas le cas, qu’il t’a un minimum écouté et qu’il va se retourner. Le temps est beaucoup trop long pour toi. Vraiment trop long.

- « Dis quelque chose Max… » que tu murmures d’une voix faible avant de poser ta main sur son dos.

 

Let's be handsome

Maxwell Lord & Gabrielle Stuart

En fait le soucis que vous avez tous les deux c'est que vous êtes bornés et trop passionnés. Même si tu ne le veux pas forcément le lui avouer ainsi qu'à toi même Maxwell, quelque chose est en train de se passer entre vous et tu en es mort de trouille. Tu as peur Max, peurs d'aimer à nouveau et de te fracasser comme ça t'es déjà arrivé la fois précédente, tu ne veux plus jamais souffrir comme tu as soufferts et rien que d'y penser ça te rends malade, alors tu campes sur tes positions, tu essaies de faire en sorte que rien de tout ça n'arrive et c'est tout le contraire qui est en train de se passer. Tu détruis cette relation à petit feu aussi vite que tu l'as construite, tu ne cesses de vouloir exercer un contrôle sur une personne qui n'est vraiment pas prête à se laisser faire, alors chacune de vos sorties où conversations se terminent inévitablement en dispute.

-«Arrête je te pris, pas à moi. Tu étais en colère alors tu t'es jeté dans les bras de ce type, ose me dire que tu n'as pas une dent contre moi alors que ça fait bientôt une heure que tu fais la gueule.» La conversation ne cessait de tourner en rond et tous deux campiez sur vos positions. Tu n'étais pas prêt Max, pas prêt à faire autant de sacrifices que demande cette relation et tu as cette agaçante manie de vouloir toujours avoir raison à tout prix, tu ne lâcheras pas le morceaux ça non. Alors ta solution avait été la fuite. Si dans ton travail et ta vie en général tu es un battant et tu l'as toujours été, combattant d'arrache pieds tous les obstacles pouvant se trouver sur ta route, quand il s'agit de sentiments tu as souvent tendance à vouloir prendre la fuite plutôt que d'affronter le problème. Mais où tout ça vous mènera-t’il si tu continues sur cette voie Max, tu es conscient que vous êtes déjà sur une pente glissante alors que votre relation ne fait que débuter. Tu es dépité, déçue et en colère parce-que tu voulais clairement bien faire ce soir et une fois de plus tout à tourné au fiasco. Mais alors que tu continues ton chemin, elle hurle presque ton prénom, sous cette pluie battante, vous ne ressemblez plus à rien, vous qui étiez si beau à l'arrivée devant les photographes, voilà que vous ressemblez à deux chiens mouillés totalement irrécupérables et rien que ça à le don de t'énerver. Tu te retournes à nouveau pour lui faire face, le regard noir, tu es clairement blessé et ne veut pas laisser entrevoir cet aspect de toi. En plus, elle est en train de remettre ton fameux chantage sur le tapis, si elle voulait adoucir ton humeur ce n'est pas avec ce genre de propos qu'elle va y arriver bien au contraire. Tu te ronges les sangs Max, tu es à deux doigts de te tirer d'ici en la plantant là, mais ce foutu côté gentleman en toi t'en empêche férocement.

-« Qu'est-ce que tu attends de moi Gabby ? Que je te laisses faire comme bon te semble quitte à risqué qu'un de ces porcs te mettent la main dessus bien sagement en sirotant mon champagne ? Tu sais comment je suis, tu travailles avec moi depuis un petit moment maintenant, n'espère pas que je vais rester bien sagement à te regarder parader pendant que je serais en train de me bouffer de l'intérieur de peur qu'un de ces types te sautent dessus. Si je t'ai choisis ce n'est pas pour ça, il y a bien d'autres façons que tes charmes pour arriver à tes fins et je t'en ai crus capable ! C'était si difficile de te demander une soirée d'observation ? C'est pas comme si je ne t'avais pas dit que ton tour viendrais, je voulais simplement pour ce soir que tu passes une bonne soirée et que tu observes, mais à t'écouter, te demander cela fait de moi un monstre.» Tu ne sais plus ce qu'elle attends de toi, cette conversation t'énerve parce que ce n'est pas du tout ce que tu avais prévus et tu déteste quand les choses tournent autrement que comme tu l'avais décider Max. Ta vie est toute tracée, tu contrôles chaque choses qui arrivent et anticipe celles auxquelles tu n'aurais pas forcément pensé dans un premier temps. Mais là, clairement avec Gabby, tu ne peux rien contrôler, il faut toujours qu'elle en fasse à sa tête et ça te rends fou Max.

-«Qu'est-ce que tu veux que je dise de plus ? Je sais plus quoi te dire Gabby, j'attendais cette soirée avec impatience et maintenant il n'y a plus rien à en tirer.» Tu es dur avec elle Max, parce que quand tu souffres, tu as la fâcheuse tendance à vouloir renvoyer ta souffrance à la personne qui te fait face et ça te fera défaut certainement. Tu es en train de gâcher un peu plus la soirée, pour toi elle à tout foutu en l'air ce soir et pour elle c'est toi le responsable. Que dire de plus après tout ça ?